Cellulaire

Après avoir survolé plusieurs aspects du téléphone, nous sommes aptes à dire qu’en effet c’est un accessoire qui ne cesse d’évoluer, parfois pour le meilleur comme les avancées scientifiques ou en médecine, parfois pour le pire comme les problèmes liés à l’enfance ou la Nomophobie et les impacts environnementaux.

Quoiqu’il en soit la création de nouveaux combinés comme le Z Fold2 est une preuve ultime du progrès, il n’a de cesse de fasciner les hommes et de se rendre indispensable  en devenant un objet de tous les jours mais qui peut toujours s’améliorer.

En cela et grâce à tous les exemples donnés on peut dire que cette création de l’homme ne cessera d’évoluer ce qui en fait une création futuriste qui ne peut que s’améliorer, comme pour sa conception ou bien ses concepts tous plus fou les uns que les autres.

Alors à termes sera-t-il une aide et une bénédiction pour les hommes du futur ?

Cicret est un bracelet connecté permettant de projeter l’écran de son smartphone sur son avant-bras. Muni de 8 capteurs de proximité et d’un pico-projecteur, le bracelet disposerait de son propre processeur et de son propre système. Comme le montre la démo, un simple mouvement de poignet permettrait de d’activer la projection sur l’avant-bras.

Comme tous les autres bracelets connectés, il dispose du matériel “de base”, c’est-à-dire d’un gyroscope, un accéléromètre et d’une mémoire allant de 16 à 32 Go. Petit bonus, il est waterproof, c’est donc également la fin d’un drame, celui du smartphone qui tombe dans la piscine ou dans les toilettes après une soirée arrosée.

Cicret est pour l’instant un projet qui a besoin de financement et n’est visible qu’à l’état de prototype sur la vidéo postée par l’équipe en quête d’investisseurs. Aucune date de sortie n’est pour l’instant prévue et Cicret vous met en garde contre les revendeurs peu scrupuleux qui tenteraient de vous faire croire que le produit est d’ores et déjà disponible.

Seulement on voit quelques problèmes à ce concept :

●comment le bracelet pourra-t-il gérer les problèmes morphologiques ? Il est en effet impossible de créer un modèle unique, chacun ayant un corps différent (musculature, pilosité, couleur de peau…),

● En cas de forte luminosité, comme à l’extérieur, la visibilité sera-t-elle bonne ? On sait pour l’instant qu’une projection holographique est difficile à obtenir alors qu’en est-il à la lumière  

Ces différents problèmes n’ont pas été abordés dans la vidéo de présentation, de même que les potentiels soucis liés à l’autonomie du bracelet, qui devra reproduire le comportement du smartphone via une connexion Bluetooth permanente.

Cependant cela reste un bel objectif qui nous envoie tout droit dans les rêves et idées du futur, tel que les films de science-fiction qui nous ont fait rêver de voitures volantes.

(à droite le samsung galaxy Z Flip)

Ce téléphone dernier crie est un bijou de technologie alliant recherche, développement, innovation et création, passer de téléphone a tablette en un dépliage n’est pas nouveau néanmoins c’est le plus aboutie et fonctionnel (plus que son prédécesseur le ZFold) vus qu’il a fini par être commercialisé, le 18 septembre 2020.

Un téléphone à plus de 2000 euros est difficile à recommander car il ne s’adresse qu’à une mince partie de la population. Cependant, le Samsung Galaxy Z Fold 2 est complètement différent de celui que nous avions sur le premier Galaxy Fold qui était une sorte de version bêta, certes envoûtante, mais imparfaite. Le Z Fold 2 est bien plus abouti et proche d’un téléphone se prêtant à un usage courant, mais son écran est toujours fragile et nécessite un entretien particulier. S’il ne s’adresse pas à la plupart des utilisateurs, il reste un appareil ultrasophistiqué qui nous permet de vivre une expérience unique.

Son design unique et innovant réinvente le présent pour nous projeter dans le futur. Il est doté d'un écran Infinity Flex et d'une charnière flexible sophistiquée. Il est équipé d'un écran de 7,6 pouces pliable sur lui-même avec un second écran de 6,23 pouces sur sa face gauche. Plié, le smartphone ne fait que 16,8 mm d’épaisseur. Ses 12 Go de RAM et ses 256 Go de stockage finiront peut-être de vous faire rêver.

Mais soyez vigilants ses nouvelles fonctionnalités ne garantissent pas sa robustesse, il est encore assez fragile comme face à l’eau et la poussière.

En bref c’est un bijou qui n’est pas destiné à tout le monde et qui devrait rester un rêve tant qu’il n’est pas plus abordable et plus performant pour une utilisation quotidienne comme les modèles que nous offre aussi le géant coréen, bien qu'il prouve tout de même les folles avancées de la technologie.

Voici une courte vidéo de sa présentation:

Avec de telle avancées , à quoi devons nous nous attendre pour le futur?

La Nomophobie est une anxiété a l’idée d’être séparé de son téléphone. Ce trouble n'est, pour le moment, pas répertorié par le DSM-V (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux). Il est toutefois considéré, par les chercheurs en psychiatrie, comme une maladie du monde moderne, engendrée par la communication virtuelle. Elle s'est accentuée avec la généralisation des smartphones.

Il y a des signaux à prendre très au sérieux quand on croit être atteint de ce problème :

• Vérification excessive des textos, ou réseaux sociaux.
• Difficultés à s'impliquer dans les tâches quotidiennes, crainte de la perte de connexion et d'accès à l'information.
• Peur de le perdre ou ne pas avoir de batterie, jusqu’à déclencher des crises d'angoisse.
• Ressentir une souffrance, perte de sa liberté par rapport au produit, se sait incapable de se réguler.
• Evitement des situations ou on se retrouve sans réseau ou téléphone
• Anxiété d’interaction sociale

Certains sont plus sujets à cette addiction dont nos jeunes, une peur de l’isolement social (avec les réseaux sociaux par exemple, la peur de rater une nouvelle ou de ne pas s’inclure dans un groupe). Parfois on nous répète que l’on est trop sur notre téléphone et on n’y croit pas on trouve cela normal, ou encore on dit qu’on est pas accro à notre téléphone mais que communiquer avec la personne qui est à l’autre bout est important, mais c’est à cause de l’habitude d’avoir la facilité de communiquer et la peur sous-jacente de rater une nouvelle que les autres pourront voir et on se retrouve parfois inconsciement prisionnier de son téléphone , quelque soit notre raison.

Pour prévenir ce phénomène nocif l'éducation joue la majeure partie du rôle, l'emploi modéré des écrans dès le plus jeune âge, et l'apprentissage des limites.

En conclusion, malgré que le téléphone portable favorise les rapports sociaux, son utilisation devient donc négative lorsqu’il y a un abus d’usage qui entraîne une dépendance.

La génération Z représente, d’après un rapport publié par le Pew Research Center, les personnes qui ont toujours connu un monde avec une forte présence de l'informatique et d'Internet, les personnes nées entre 1997 et 2010.

Cette génération est entrée et entrera bientôt dans le monde du travail, changeant quelques habitudes : Si le salaire reste le motif principal pour le choix d’un emploi, cette génération y attache moins d’importance que les précédentes. Entre un poste bien payé, mais ennuyeux et un autre moins bien rémunéré, mais plus intéressant, près de la moitié des sondés préfère choisir la deuxième option ce qui n’était pas forcément le cas avec les générations passées.

Pour séduire la génération Z, les entreprises et les employeurs auront intérêt à mettre en avant leur engagement en faveur de grandes causes telles que le développement durable, le changement climatique ou la faim dans le monde car ce sont des sujets des sensibles qui ont bercé ces jeunes adultes depuis leurs enfances et qui leur tiens donc plus à cœur car ils y sont plus sensibles et alertes.

Outre ces faits la, la génération Z est celle qui aura fait l’essor de nombreux mouvements comme instragram , snapchat , twitter , tiktok… les phénomènes comme le food porn ou toutes les tendances lancées par les réseaux sociaux desquels ils sont habitués et novateurs . Désormais les améliorations à tout ce qui touche aux numériques est dans un sens pour les séduire et les satisfaire car ce sont les principaux utilisateurs et consommateurs.

C'est cette jeunesse qui a de plus en plus de mal a décrocher de son téléphone ,quelque soit leurs excuses ils y sont de plus en plus accros , le boitier magique ne quitte plus leurs mains.

La règle dite des « 3, 6, 9 et 12 », portée notamment par le psychiatre Serge Tisseron (et relayée désormais par l’association française de pédiatrie ambulatoire) :

● Pas d’écran avant 3 ans, ou tout au moins les éviter le plus possible

● Pas de console de jeu portable avant 6 ans

● Pas d’Internet avant 9 ans, et Internet accompagné jusqu’à l’entrée en collège

● Internet seul à partir de 12 ans, avec prudence

Cette deuxième mesure proposée par Catherine Morin-Desailly : l’organisation, « chaque année », par le ministère de la Santé, d’une « campagne de sensibilisation aux bonnes pratiques en matière d’exposition des enfants aux écrans ». La sénatrice espère que l’affiche « Apprivoiser les écrans et grandir, 3, 6, 9, 12 » soit diffusée à cette occasion « dans tous les lieux administratifs, scolaires et médicaux fréquentés par les enfants et leurs parents ».

Et c’est en partie réussi car j’ai vu cette affiche dans des lieux fréquentés par des parents, des adultes et des enfants.

Cette règle est en fait un moyen de simplifié des repères pour les jeunes parents soucieux du bien-être et de la bonne éducation de leurs enfants en particulier face au écrans et à leurs répercussions possibles. Ce ne sont pas des règles fixées avec des âges stricts seulement des recommandations avec des tranches repères calculés selon des études sur le developpement de l’enfant et ses besoins.

En somme c’est une affiche qui fonctionne et qui recommandé pour une compréhension simplifiée de tous et même des plus jeunes qui ont besoins de comprendre pourquoi eux n’auraient pas le droit aux écrans quand tout autour d’eux les y conduit et tous les utilises, même leurs parents.

Cette photo est le parfait résumé du danger des smartphones offert trop tôt…

De nos jours les jeunes ont des aptitudes innées à se servir des mobiles, donnez en un à un enfant vous verrez que bien vite il comprendra comment s’en servir, entre son aptitude et les appareils aux interfaces de plus en plus intuitives, ça devient jeu d’enfant.

Et à l’heure d’aujourd’hui ou les enfants grandissent baignés dans le numérique et les ondes et cela avant même leur naissance ils sont presque conditionnés à s’en servir de plus en plus tôt.

Bien que les téléphones peuvent avoir des avantages comme exposés dans les articles précédents ils peuvent aussi être un fléau pour nos jeunes, leur éducation et leurs interactions sociales…

On voit bien qu’ils sont tous absorbés par leur écrans respectifs, isolés ensembles, ils s’éloignent progressivement de la réalité et de leurs camarades pour peut-être se retrouver à travers s écrans dans un jeu ou sur les réseaux sociaux, faisant baisser la violence physique dans la cours de récrée mais pourtant elle est bien pire sur les réseaux sociaux ou de plus en plus on voit fleurir la méchanceté gratuite , le harcèlement morale (qui peut découler sur le physique quand on sort des écrans),l’isolement de certains dont les moins populaires qui subissent désormais dans deux univers , on assiste à une banalisation de la violence et de la superficialité.

Seulement ce n’est pas le seul problème notable… la déconcentration de plus en plus rapide ou le désintérêt du travail scolaire est notable et alertant.

C’est pourquoi dans bon nombre d’établissements (école primaire, collège, lycée) les téléphones doivent être éteints et rangés dans le sac et ressorties seulement le soir à la sortie des cours, sous peine de suppression et/ou punition, ils sont interdits aux pauses ou dans les couloirs pour minimiser les distractions ou les problèmes de vols, harcèlement scolaire, moqueries…

Le problème des écrans devrait d’ailleurs commencer à être traité bien plus tôt dès l’enfance, une éducation réussie est un tremplin pour le bon développement de l’enfant et ses comportements face aux écrans tout au long de sa vie.

Détail méconnu et pourtant important, l'indice de débit d'absorption spécifique ou DAS (aussi connu sous sa dénomination anglaise SAR pour Specific Absorption Rate) est une mesure indiquant la puissance d'un flux d'énergie véhiculée par les ondes radiofréquences absorbée par l'usager d'un appareil radioélectrique (téléphone portable, tablettes, montre connectée par exemples), lorsque cet appareil fonctionne à pleine puissance et dans les pires conditions d'utilisation.

Dans le Système international, l'unité de mesure du DAS est le watt par kilogramme (W/kg).

De plus sous l’impulsion de la Députée Laurence Abeille, le législateur a décidé, en 2015, d’étendre ces obligations à un plus grand nombre de produits émettant des ondes électromagnétiques et susceptibles d’être utilisés à proximité du corps humain.

Ainsi, à partir du 1er juillet 2020, des obligations nouvelles résultant de cette loi s’appliquent aux fabricants, importateurs et distributeurs à tous les produits sans fil et connectés. Ceux-ci ont l’obligation de publier les valeurs de DAS pour les produits et équipements qui contiennent un ou plusieurs émetteurs d’ondes électromagnétiques dont la puissance totale dépasse 20 mW (soit 13 dBm) et seront utilisés de manière « raisonnablement prévisible » à une distance inférieure à 20 cm du corps humain. Ces valeurs doivent apparaitre dans les notices, sur les packagings, publicités, sites internet et lieux de vente notamment.

Connaissant maintenant ce détail important et plutôt alertant on peut en venir à se demander si on a vraiment envie de s’exposer à un tel risque en permanence mais surtout si on est prêt à laisser nos enfants y faire face...?

On ne peut parler de téléphone portable sans faire le lien avec la situation actuelle, le nouveau coronavirus, qui a déjà tué plus d'un million de personnes à travers le monde, pourrait survivre jusqu'à un mois sur nos appareils favoris. C'est ce qu'affirme une récente étude conduite par le Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), l'organisme gouvernemental australien pour la recherche scientifique.

Dans un environnement strictement contrôlé, dans le noir et à température ambiante, le virus est resté infectieux plus longtemps que lors des tests précédemment effectués en laboratoire. D'après les scientifiques, le virus s'est montré « extrêmement robuste » lorsque la température était de 20°C. Il a pu survivre jusqu'à un mois sur des surfaces lisses telles que les écrans de téléphone portable, les billets de banque et les objets en acier inoxydable.

Statistiquement, les téléphones portables sont extrêmement sales, parfois même davantage que les sièges de toilettes publiques. Il faudrait donc prendre l'habitude de désinfecter souvent son mobile grâce à des lingettes désinfectantes.

Mais le téléphone portable aura eu de nombreux avantages pendant cette pandémie que nous pouvons lister :

• Ils permettent d’approfondir les connaissances, en facilitant l’accès à l’information en tout genre les jeunes (ou à tout âge), ils favorisent la curiosité.

• Ils favorisent la sécurité et le contact : Les parents peuvent utiliser un smartphone pour être en contact avec leurs enfants, pour savoir comment et où ils se trouvent. Dans l’urgence c’est la communication première (malaise…). Il a permis de garder des liens « étroits » et de ne pas laisser les gens confinés seuls ou loin de leur famille déprimer, tout en favorisant la sociabilité, bon nombre d’entre nous ont profité de ce confinement pour faire de nouvelles connaissances

• Ils peuvent être des outils d’apprentissage, aidant avec les outils scolaires comme pronote et atrium ou facilitant l’accès à l’information.

Lors de cette période difficile il a été d’une grande aide pour prendre des nouvelles et garder contact avec les proches, ou encore continuer à travailler avec le distanciel.Il nous a montrer sa nécessité et qu’il pouvait être un vrai bijou de la technologie, utile et nécessaire à la vie de tous les jours à notre époque. Parfois il est nocif et éloigne dans la réalité mais en cas de nécessité comme on a vécu il nous rapproche.

Comme nous le savons désormais la fabrication de cellulaire nécessite plusieurs composants et cela commence par leur extraction, qui malheureusement se fait souvent dans de terribles conditions qui posent des questions d’éthiques à plusieurs niveaux, l’appauvrissement des réserves non renouvelables, et le travail des personnes sans respect des conditions de sécurité en partie.

Le premier problème provient du fait que ce sont des enfants (majoritairement) qui sont exploités dans les mines, pour un salaire miséreux et du 7j/7, de familles pauvres, dans des pays parfois en guerre mais la préoccupation des industries est la production et la rentabilité et ils ne se vantent bien sûr pas des conditions de travail et de provenance de leur matériau.

Par exemple au Chili, en Argentine et en Bolivie, l’utilisation massive d’eau pour la production de lithium (métal présent dans les batteries des smartphones) provoque des conflits d’usages avec les populations locales, au point de compromettre leur survie.

Selon l’UNICEF, plus de 40 000 enfants travailleraient dans les mines du sud de la République Démocratique du Congo, dont beaucoup dans des mines de cobalt et de coltan, minerais stratégiques que l’on retrouve dans les batteries et condensateurs des smartphones.

Par ailleurs une marque se démarque en ayant pour but d’être plus écologique et responsable. Il s'agit du fabricant Fairphone qui a vu le jour en 2013. Les téléphones de la marque ont tout pour plaire aux utilisateurs responsables. Ils sont composés de matériaux recyclés, ils sont facilement réparables, et la fabrication est effectuée par des travailleurs libres. En effet, la marque veille à ce qu'aucun mineur ne soit employé, à ce qu'un plan d'évacuation en cas d'incendie existe, à ce que les matériaux choisis ne proviennent pas d'un pays en guerre ou sous l'occupation d'une milice armée.

Fairphone propose la location de téléphone (20€ ou 30€/mois) sous engagement de 30 et 24 mois, et permet d'être couvert en cas de réparation (remplacement en moins de 48h en cas de défaillance, réparation à vie, remplacement de la batterie une fois par an), de mise à jour de l'appareil ou encore en cas de vol grâce à une garantie vol incluse, favorisant ainsi la consommation responsable, tous les avantages et sécurité d’avoir un téléphone portable.